Protéger le choix du patient
La campagne #ReleaseTheFirstReport s’appuie sur la campagne primée Your Health Your Choice. Cette campagne a connu un succès retentissant, donnant aux consommateurs une voix qui contribue à protéger l’accès aux médecines complémentaires et alternatives en Australie. Your Health Your Choice a fait connaître les lacunes du rapport de 2015 du NHMRC sur l’homéopathie. Son site Web héberge une pétition demandant au gouvernement australien d’exiger du NHMRC de rendre des comptes par le biais d’une enquête du Sénat.
Signer la pétition #ReleaseTheFirstReport rappellera au gouvernement australien que ce ne sont pas que les consommateurs australiens qui sont touchés par leur rapport sur l’homéopathie – cela touche les gens du monde entier.
C’est pourquoi nous disons que «ça suffit». Il est temps que le NHMRC soit tenu responsable de ses manquements scientifiques et qu’il publie le premier rapport.
Sauver l’homéopathie et le choix du patient: pourquoi votre signature compte ?
Politiquement, les chiffres comptent. Et le choix du patient est devenu un problème politique.
L’homéopathie est utilisée depuis des siècles, mais en 2018 un petit nombre de personnes bien connectées exercent un lobbying intense, par ex. les membres des Friends of Science in Medecine qui ont clairement indiqué leur objectif d’éliminer l’homéopathie comme option de premiers soins de santé.
Personne ne force quiconque à utiliser les médecines complémentaires. Pourtant, ces personnes travaillent sans relâche – à la fois politiquement et dans les médias – pour empêcher d’autres personnes d’accéder aux médicaments et aux traitements qu’elles apprécient et qu’elles souhaitent utiliser.
Pourquoi ces «sceptiques» estiment-ils avoir le droit d’interdire est un mystère complet mais leur objectif est clair. Il ne devrait y avoir aucun médicament disponible autre que les médicaments classiques, malgré les risques souvent associés à cette approche.
Sous cette pression, la lutte pour sauver l’homéopathie n’a jamais été aussi urgente.
Rappelez à l’Australie qu’ils sont en décalage avec d’autres pays
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) reconnaît l’homéopathie comme le deuxième système de soin le plus utilisé au monde. Des recherches scientifiques menées en Suisse ont conclu qu’il s’agissait d’une solution «efficace, appropriée et rentable» et qu’elle était utilisée dans le monde entier par plus de 200 millions de personnes.
Plus de 100 millions de citoyens européens utilisent des médicaments homéopathiques en vente libre ou prescrits, tandis qu’au Royaume-Uni, 10% de la population utilise l’homéopathie, soit environ 6 millions de personnes.
En Inde, il existe plus de 200 000 médecins homéopathes et le traitement homéopathique est pleinement intégré aux soins de santé classiques, parallèlement à la médecine conventionnelle.
Les Suisses se sont battus avec succès pour protéger leur droit d’accès aux traitements homéopathiques, le gouvernement suisse accordant à l’homéopathie et aux médecines complémentaires un statut égal à celui de la médecine conventionnelle. L’année même où la Suisse publiait un rapport historique concluant que l’homéopathie était cliniquement efficace (2012), le NHMRC australien travaillait sur le rapport australien que les autorités sanitaires utilisent actuellement pour restreindre l’accès à l’homéopathie.
Les patients ont le droit de choisir des traitements qui fonctionnent pour eux – le non-respect flagrant du protocole scientifique par le NHMRC dans cet examen crée un précédent alarmant pour la prise de décision en matière de soins de santé.
Exigez que le NHMRC PUBLIE LE PREMIER RAPPORT.
«Le travail du NHMRC consistait à résumer avec précision toutes les données probantes sur l’homéopathie. Nous nous sommes retrouvés avec un examen biaisé, ignorant les éléments de preuve positifs et qui a violé les normes obligatoires administratives et de recherche.
Non seulement c’est une mauvaise science, mais cela soulève également des préoccupations majeures quant à la validité des examens du NHMRC. C’est la raison pour laquelle nous avons dû faire appel à un médiateur. »
Gerry Dendrinos
Président
Australian Homoeopathic Association
The Need for Homeopathy
Australian QC on Ombudsman Complaint